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Paris-Musées
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Impressionistes slovenes et leur temps (1890-1920) (les)
Sas Paris Musee
- Paris-Musées
- 27 Avril 2013
- 9782759602094
Exposition à partir du 18 avril 2013 au Petit Palais et musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris un état de la création artistique à Ljubljana entre 1890 et 1920 : forte présence des sculpteurs, riche production d'illustrations et de caricatures, renouveau de la photographie et réalisations architecturales qui firent de la capitale slovène une ville moderne.
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Les halles de Baltard ; métiers du jour et de la nuit
Valery Jobbe-duval, Charlotte Lacour-veyranne
- Paris-Musées
- 13 Novembre 2013
- 9782759602230
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Pour la rétrospective que le musée d'Art moderne de la Ville de Paris a consacré à Giorgio de Chirico en 2009, 150 peintures et une sélection d'oeuvres graphiques retraçaient le parcours singulier de cet artiste qui fascinait les surréalistes. L'oeuvre, montrée dans toute sa complexité, retrouve sa force d'ébranlement dans la construction de l'image occidentale. « Dans le domaine de la peinture, disait André Breton, se situent les interventions décisives de Picasso et de Chirico, à partir desquelles il faudra admettre que la représentation visuelle de l'homme a changé. » Après une présentation chronologique des deux périodes parisiennes et de l'interaction avec le milieu artistique et littéraire de la capitale, la sélection privilégie les séries de peintures, places énigmatiques, bassins, trains en marche, statues silencieuses. Le catalogue richement illustré contient les réflexions d'artistes contemporains.
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Lucio Fontana (1899-1968) est, avec Gorgio de Chirico, l'un des artistes italiens qui a le plus marqué le XXe siècle. Sculpteur de formation, il a parcouru avec une totale liberté tous les domaines de la création en volume : tour à tour figuratif et abstrait, pratiquant le modelage, la céramique polychrome. Il a aussi réalisé les premières installations en néon et des environnements. Inventeur du mouvement spatialiste qui revendiquait le dépassement des techniques et des genres traditionnels de l'art, il est la référence des artistes italiens à partir des années 1950 et un modèle pour les mouvements d'avant-garde des années 1960 avec ses toiles fendues. Cette exposition rétrospective, réalisée en collaboration avec la fondation Fontana, réunit près de 150 oeuvres. Organisée autour des chefs-d'oeuvre de l'artiste italo-argentin, pour la plupart rarement vus en France, cette rétrospective présente également des sections plus inattendues, comme la sculpture en céramique et les collaborations de l'artiste avec les architectes.
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L'exposition du musée d'Art moderne de la Ville de Paris en 2013 (19 avril au 18 août 2013) sera l'une des plus grandes rétrospectives consacrée à l'artiste. plus de 100 oeuvres sur toile, sur bâche ou dans le métro, des dessins et des sculptures provenant de musées internationaux et de grandes collections privées... le catalogue permettra au lecteur de découvrir l'engagement politique et social de l'artiste à travers différents thèmes : engagement politique, la religion, le racisme, les nouvelles technologies, le sida, le sexe et la mort.
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Catalogue christian lacroix-lumieres - musee cognacs-jay 19 novembre 2014 - 19 avril 2015
Lacroix christian
- Paris-Musées
- 19 Novembre 2014
- 9782759602780
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Sous la direction d'Emmanuelle de l'Ecotais, commissaire de l'exposition, musée d'Art moderne de la Ville de Paris. Textes de Fabrice Hergott et Emmanuelle de l'Ecotais, entretien avec Linder Sterling Adoptant la forme d'un magazine, le catalogue évoque les débuts de l'artiste, remarquée pour ses interventions dans le fanzine punk The Secret Public, mais aussi sa reconnaissance par le milieu de l'art et de la mode.
Des débuts jusqu'à aujourd'hui, une centaine de photographies, photomontages et dessins de petit et grand formats (30 x 40 cm à 100 x 150 cm), ainsi qu'un film, témoignent de la singularité de sa démarche, qui s'exprime dans un travail performatif et multidisciplinaire d'une grande richesse visuelle : iconographie provocante et transgressive, actions féministes, engagement politique, graphisme punk, performances musicales.
Le catalogue retracera également la genèse du projet spécifiquement élaboré pour le musée d'Art moderne.
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Le guide du musée Cognacq-Jay met en relief de façon synthétique des ensembles remarquables de la collection, ici présentée par catégories d'objet, et propose une sélection d'oeuvres commentées. Le parcours ainsi proposé est précédé d'un article sur l'histoire du musée et d'un article sur la formation de la collection par Ernest Cognacq, entouré de plusieurs conseillers.
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Theatres romantiques a paris - musee de la vie romantique - collections du musee carnavalet
Collectif
- Paris-Musées
- 10 Mars 2012
- 9782759601936
L'ouvrage est consacré au triomphe des théâtres à Paris, durant la première moitié du XIXe siècle, depuis la Monarchie de Juillet jusqu'au Second Empire.
Frémissant de tous ses succès, à la comédie comme à l'opéra, Paris s'est rapidement imposée parmi les premières scènes en Europe - bouleversée dans le même temps par des révolutions politiques et sociales de tous ordres - grâce aux écrivains, compositeurs, comédiens, danseurs et chanteurs qui avaient résolu d'y briller. Par leur génie, leur autorité, un sens inné de la dramaturgie - en littérature comme en musique - ces créateurs, acteurs, solistes, aussi inventifs que capricieux, ont incarné une modernité « romantique », qui, au-delà de ses racines mêlées, sut conquérir la plus exigeante des élites intellectuelles.
Portraits, décors, études, souvenirs et reliques provenant du musée Carnavalet, plus de cent peintures, dessins, sculptures et objets d'art évoqueront le succès considérable qu'ont connus les genres, alors si novateurs, de la représentation au théâtre et à l'opéra, du drame et du mélodrame, du grand opéra ou encore du ballet narratif.
Textes de Daniel Marchesseau et Jean-Marie Bruson
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À la mort du couturier en 1972, sa famille a fait don au musée Galliera de l'ensemble des pièces dont Cristóbal Balenciaga aimait s'entourer pour nourrir ses créations. Réunis tout au long de sa vie, cette collection est un ensemble d'archives, de costumes historiques et d'éléments textiles, composé de vêtements régionaux espagnols et de modes européennes du XVIIIe siècle aux années 1930.
L'ouvrage présente cette collection insolite et précieuse, ainsi que des créations du couturier. À travers les photographies originales de Maurice Scheltens, il met en lumière l'immense travail de recherche et de connaissance nécessaire à la maîtrise du vêtement ainsi que l'affranchissement créatif dont a fait preuve Cristobal Balenciaga au fil de ses collections.
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Né en 1955 à Chicago, Christopher Wool est aujourd'hui un des peintres les plus connus de sa génération et une figure majeure de l'art américain. Célèbre pour ses tableaux/ lettres en noir et blanc, il expérimente dans ses oeuvres de nombreuses techniques picturales : pochoirs, peinture à la bombe, sérigraphie, images retravaillées sur ordinateur... Déjà représenté dans de prestigieuses collections internationales (MoMA, New York, Tate Collection, Londres, Centre Georges Pompidou, Paris, etc.), l'artiste est aussi présent dans les collections du musée d'Art moderne avec une oeuvre de 2007. Christopher Wool a déjà fait l'objet d'importantes rétrospectives (MoMA de New York, MoCA de Los Angeles, musée Boijmans van Beuningen de Rotterdam).
Sans prétendre à l'exhaustivité d'une rétrospective, l'exposition proposée par le musée d'Art moderne de la Ville de Paris présente une trentaine de peintures et de sérigraphies du début des années 1990 à nos jours, pour permettre de découvrir ou de mieux comprendre la démarche de Christopher Wool. La sélection des oeuvres fait une large part à ses tableaux récents dont plusieurs seront présentés pour la première fois à Paris. Elle se décline en trois séries distinctes jouant sur les notions d'abstraction, de motif, de répétition et d'expression gestuelle.
Bien que la couleur soit souvent limitée à une ou deux teintes ou encore au noir et blanc, et que les formes soient réduites à des taches ou à des lignes, les effets de recouvrement et de transparence rendent la lecture de chaque toile complexe. Leur spontanéité, évidente au premier regard, est contredite par les techniques employées, mécaniques (pochoir) ou numériques (oeuvres réalisées à partir de clichés de peintures plus anciennes retravaillées sur Photoshop). Les taches, les coulures, les déformations, tous les « accidents de fabrication » deviennent des formes créatives à part entière. Ce qui d'habitude attire l'attention dans un tableau - son sujet, sa composition, sa facture - apparaît ici secondaire. À la manière d'Andy Warhol, qui nous oblige à regarder différemment le quotidien dans ses films et sérigraphies, ou encore de Jackson Pollock, qui modifie notre perception de la composition picturale, Christopher Wool joue, dans des tableaux de grands formats, sur la tension entre la peinture et l'effacement, le geste et le retrait, la profondeur et la planéité, et nous invite à renouveler le regard que nous portons traditionnellement sur la peinture abstraite.
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Pour la société de l'entre-deux-guerres, le catalan Josep Maria Sert était un artiste accompli, encensé par la critique, réputé pour sa juste appréciation de l'espace, et considéré comme le meilleur peintre décorateur de son temps. Son oeuvre était admiré autant en Europe qu'aux États-Unis, et l'entreprise de toute sa vie - la décoration de la cathédrale de Vic -, forçait le respect.
Fréquemment comparé à Michel-Ange, à Goya ou à Rubens, il en vint même à incarner à lui seul, aux yeux de ses contemporains, l'héritage des grands maîtres de la fin de la Renaissance et du baroque, ainsi que la reformulation moderne de la peinture murale.
Sa production est immense, et va du décor de théâtre ou de ballet à l'illustration. Les décors que l'artiste a réalisés (plus de quarante) revendiquent leur filiation avec le grand art monumental, et sont toujours intimement liés à l'espace auquel ils sont destinés : Sert habille les murs de peintures mais il conçoit également leur environnement. À l'image de son créateur, archétype de l'homme moderne et cosmopolite, d'une activité débordante, fourmillant de projets et de nouvelles initiatives, sa production embrasse le monde.
L'exposition « J. M. Sert, le Titan à l'oeuvre » est centrée sur l'atelier de l'artiste, cet espace fondateur, et propose une approche inédite, qui s'intéresse aux conditions de conception et de production de l'oeuvre décoratif.
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Les couleurs du ciel ; peintures des églises de Paris au XVII siècle
Collectif
- Paris-Musées
- 19 Octobre 2012
- 9782759602049
L'ouvrage fait état des 120 peintures, dessins et gravures présentée à l'occasion de l'exposition éponyme au musée Carnavalet à l'automne 2012. Les grandes problématiques liées à l'art religieux sont développées : les commanditaires (familles royales, communautés religieuses, marguilliers, confréries) étapes de la création (dessins préparatoires, réduction, modelli), intégration des décors dans l'architecture, dévotions et représentations bibliques reflétant la spiritualité du XVIIe siècle.
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Le musée carnavalet conserve une exceptionnelle série de documents - tableaux, dessins, gravures, sculptures, meubles, médailles, estampes - qui éclairent les rapports ambigus qu'entretient le souverain avec la cité.
Révélés dans cet ouvrage, ils montrent comment Louis XIV voulut faire de Paris une « nouvelle Rome ».
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Le broyeur de sombre ; Bourdelle, dessins de jeunesse
Collectif
- Paris-Musées
- 22 Mars 2013
- 9782759602100
Jeune artiste en mal de reconnaissance, Bourdelle traverse, dans les années 1880, une période noire au cours de laquelle drames et déceptions privés, ambitions de carrière artistique et littéraire, nourrissent une production graphique mélancolique et spectaculaire jalonnée de visions cauchemardesques et de poèmes aux accents baudelairiens. Cet ouvrage sera l'occasion de découvrir une époque de recherche de styles, entre symbolisme, naturalisme et expressionnisme.
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Le dessin nourrit toute l'oeuvre d'Antoine Bourdelle et l'accompagne sa vie durant.
"Rien fait à l'école que du dessin", disait-il à son entourage ou encore, à ses élèves : "Il faut dessiner constamment, le savoir en sculpture c'est le dessin." Extraits du fonds exceptionnel, plus de six mille deux cents feuilles, conservé au musée Bourdelle, quelque deux cents dessins, les plus représentatifs de la diversité d'expression de l'artiste, sont réunis dans cet ouvrage. A côté d'oeuvres connues (croquis d'Isadora Duncan, dessins préparatoires pour Héraklès archer, motif récurrent du centaure...), quantité de feuilles rares, voire inédites, sont enfin publiées, au terme d'un inventaire tout juste achevé.
Dessins préparatoires mais aussi d'après nature, sur le vif ou de mémoire, de fantaisie ou de ressassement... Un ensemble étonnamment varié qui éclaire l'oeuvre d'un grand sculpteur. "La sculpture, finalement, ce n'est pas autre chose que du dessin dans tous les sens."
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Art animalier d'Asie ; collections du musée Cernuschi
Collectif
- Paris-Musées
- 3 Mars 2012
- 9782759600274
Constituées de bronze dominés par la figure animale, les collections antiques de l'Iran, du Caucase et des steppes orientales du Musée Cernuschi sont ici rassemblées dans leur intégralité sous le terme d'art animalier, la définition de ce dernier étant volontairement élargie au plateau iranien. Il définit habituellement la production artistique des populations des steppes eurasiennes, de la Grande Muraille de Chine à la mer Noire. Animaux sauvages et domestiques sont représentés de manière réaliste ou stylisée, mais un sens du mouvement comme saisi sur l'instant en caractérise toujours le style.
Présent dans tous les grands musées consacrés aux arts de l'Asie, ces bronzes animaliers dont depuis deux décennies l'objet de publications exhaustives. Ils constituent toujours le point fort de quelques collections privées, et le succès d'exposition consacrées à ce sujet (L'Or des Scythes, L'Or des Amazones.) ont révélé l'intérêt du plus large public pour cette forme d'art, tant ces cavaliers nomades restent indissociables d'une part de rêve.
Objets d'abord connues par des trouvailles fortuites, collectionnés en Europe dès la fin du 19e siècle, ils sont restés longtemps orphelins de tout contexte archéologique, regroupés sous des dénominations diverses évoquant des cavaliers nomades galopant d'un bout à l'autre de l'Eurasie. Les observations tirées des fouilles récentes en Mongolie, en Chine et dans les républiques du Caucase concluent au contraire à la coexistence de cultures régionales distinctes, ou mode de vie, artefacts et milieu naturel sont étroitement liés. Les steppes eurasiennes constituèrent toutefois une voie de communication remarquable, par où transitèrent motifs iconographiques et certaines inventions que reprirent à leur compte les sociétés sédentaires voisines.
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Objets de vertus, boites, tabatieres, etuis et necessaires collections d'orfevrerie
Collectif
- Paris-Musées
- 22 Décembre 2011
- 9782759601813
Catalogue raisonné de la collection d'objets de vertu du musée Cognacq-Jay, cet ouvrage est accompagné d'une exposition qui aura lieu de décembre 2011 à avril 2012.
En plus de présenter les 240 objets d'orfèvrerie de cette collection (une des plus importante), cette dernière dévoilera une série de dessins d'ornements, de gravures et de tableaux. L'appellation « objets de vertu » regroupe un ensemble de pièces d'orfèvrerie particulier : boîtes, tabatières, étuis et nécessaires. Son origine est aujourd'hui encore mystérieuse : il pourrait s'agir d'un anglicisme un peu barbare - « Vertue » est le nom d'un célèbre artisan - ou d'un souvenir de l'émigration des protestants en France que l'on appelait « les Vertueux » et parmi lesquels se trouvaient de nombreux orfèvres.
Cet ouvrage redonne leur fonction et leur usage à ces objets aujourd'hui oubliés. C'est alors l'occasion de comprendre les pratiques sociales du XVIIIe siècle à travers l'histoire du tabac à priser (tabatière.), les modes cosmétiques (boîtes à mouches.), les jeux de sociétés (étuis à jetons.). Enfin par l'étude de leur fabrication nous entrevoyons l'expression la plus raffinée de l'artisanat d'art français de l'époque.
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Cet ouvrage présente un ensemble important de bronzes archaisants (de la dynastie Song à la dynastie Qing IX-XXe siècle) conservés au musée Cernuschi.
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Le catalogue de l'exposition « Resisting the Present » présente une sélection d'artistes mexicains actifs depuis les années 2000.
Portée par la vitalité des artistes, des lieux alternatifs, des collectionneurs et des galeries, la scène artistique mexicaine s'est considérablement développée, grâce notamment à des artistes comme Gabriel Orozco.
La génération postérieure, celle des artistes nés pour la plupart après 1975, marque une nouvelle étape, à travers la présentation d'une quinzaine d'artistes et d'une cinquantaine d'oeuvres de techniques diverses (installations, sculptures, vidéos, dessins, photos).
Le travail de certains artistes relève d'enquêtes biographiques ou historiques tandis que d'autres adoptent de nouvelles stratégies liées aux conséquences sociales des systèmes économiques globaux. Au centre de leurs préoccupations se pose aussi la question du rôle de l'artiste, de sa production et de sa marge de perturbation dans l'espace public et social.
C'est aussi l'occasion d'évoquer quelques liens qui se sont tissés entre la France et le Mexique dans les vingt dernières années par l'intermédiaire de figures marquantes, poètes et intellectuels (Alejandro Jodorowsky, Serge Gruzinski) dont la présence sera mise en relation avec le travail des artistes.
Cette exposition est issue d'une recherche partagée entre le Musée d'Art moderne de la Ville de Paris et le Musée Amparo de Puebla, Mexique. Elle sera d'abord présentée au Museo Amparo à partir du 15 octobre 2011 puis dans l'espace de l'ARC du MAMVP du 23 février au 20 mai 2012.
Parmi les artistes sélectionnés : Edgardo Aragón, Diego Berruecos, Mariana Castillo Deball, Jonathan Hernández, Arturo Hernández Alcázar, Bayrol Jimenez, Adriana, Lara, Gonzalo Lebrija, Tercerunquinto, Héctor Zamora.
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Autodidacte née en Californie, pionnière de la "danse libre", Isadora Duncan (1877-1927) défia les conventions en plaçant son art au coeur d'un projet de société plus démocratique.
Cet ouvrage, le premier consacré aux années qu'Isadora passa en France, s'attache à restituer le contexte intellectuel et artistique d'une époque, et retrace le parcours de la danseuse, de ses débuts dans les salons parisiens aux succès sur des scènes prestigieuses - Gaîté-Lyrique, théâtre du Châtelet ou des Champs-Élysées - en évoquant également le rayonnement de ses écoles de danse, déterminantes pour la transmission de son art.
Séduits par l'expressivité de sa danse, nourrie de sa fascination pour la Grèce antique, de nombreux artistes - Antoine Bourdelle, José Clara, Jules Grandjouan, André Dunoyer de Segonzac, Abraham Walkowitz, Rik Wouters... - ont cherché à en saisir l'élan vital, par la légèreté du trait ou la gravité du matériau. D'autres ont magnifiquement représenté cette femme audacieuse et moderne, comme en témoignent le portrait peint d'Eugène Carrière ou les clichés d'époque d'Albert Harlingue, Arnold Genthe ou Edward Steichen.
Personnalité d'exception, femme libre, Isadora Duncan révolutionna l'art de la danse: "Je n'ai pas inventé la danse, elle existait avant moi ; mais elle dormait et je l'ai réveillée."
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Du fleuve rouge au Mékong ; visions vietnamiennes
Collectif
- Paris-Musées
- 21 Septembre 2012
- 9782759602018
Le catalogue de l'exposition du musée Cernuschi se propose de présenter la vision des peintres français sur le Vietnam de la fin du dix-neuvième siècle aux années cinquante et grâce à la mise en place des écoles d'art (l'Ecole de Thu-Dau-Mot en 1901 - L'Ecole d'Art de Bien-Hoa en 1903 - l'Ecole des Arts Décoratifs de Gia-Dinh en 1913 et l'Ecole supérieure des Beaux-Arts de Hanoi en 1924), et l'interprétation par les peintres vietnamiens de leur propre culture.
Des oeuvres des professeurs et peintres voyageurs, titulaires du Prix de l'Indochine : Louis Bâte, Henri Dabadie, Charles Fouqueray, Joseph Inguimberty, Paul Jouve, Lucien Lièvre, André Maire, François de Marliave, Henri Mège, Louis Rollet, Victor Tardieu..., seront présentées aux côtés des peintures à l'huile et sur soie ainsi que des laques et des bronzes de célèbres artistes vietnamiens : Le Pho, Le Van De, Luong Xuan Nhi, Mai Thu, Nguyen Gia Tri, Nguyen Phan Chanh, Nguyen Tien Chung, Nguyen Tuong Lan, Pham Hau, To Ngoc Van, Vu Cao Dam...